“Dominique Bablet est une artiste passionnée et passionnante, entière, investie, éclairée” écrit Serge Battiston dans son livre Esprits de Matière aux Editions Pierron.

“Sculpteur, peintre, art-thérapeute, Dominique Bablet a su mettre son art au service des autres. Elle signe une œuvre puissante et sensible à la fois que l’on peut approcher dans sa maison d’artiste de Gorze.”
Annie Marzolin, Hebdomadaire La semaine.

“Aujourd’hui, l’auteur de l’Elementium, haute statue longiligne visible sur une place d’Hagondange ou du monument René-Cassin à Forbach, a une exposition permanente dans une galerie parisienne et fréquente les grandes expositions. Sollicitée partout, elle voyage de la Finlande à l’Italie, du Canada à Shangaï.

Après des études à la faculté d’arts plastiques Saint-Charles de Paris I, suivies d’un diplôme d’art-thérapeute à l’université René-Descartes, l’artiste a repris le chemin de sa Lorraine natale. Peintre également, mais avant tout sculpteur, elle travaille la terre, le bronze, le marbre noir de Belgique, le marbre blanc de Carrare et surtout elle poursuit son “dialogue avec la pierre” de Jaumont qu’elle aime tant, “de couleur sable, qui se pare d’ocre au soleil couchant. Les pierres ont des choses à nous dire. Si nous sommes à l’écoute, il se produit un échange, un apprivoisement réciproque. Tout commence par une rencontre”. Avec la pierre et le bronze, elle décline ses thèmes favoris. Dans les humains, la musique, le monde équestre qu’elle connaît depuis son enfance, Dominique Bablet trouve ses sources d’inspiration. Naissent alors de saisissants corps, qui “se meuvent ou bien se rompent ou bien encore se figent”, apparaissent d’aériens musiciens, souvent violoncellistes, et s’imposent de majestueuses représentations de chevaux.

Et puis, parfois, par besoin de se ressourcer, l’artiste prend la direction du Midi et plus loin encore au sud, part admirer une fois de plus les statues antiques de la Rome éternelle, elle, l’artiste contemporaine. “Ce qui m’importe, dit-elle, c’est d’être dans mon temps, simplement avoir la conscience d’être là.” ”
Rachel Valentin, Revue Metz Femmes